la justice a été rendu .

Mais revenons à Mimi qu’on ne surnomme pas pour rien la Mata Hari de la presse people. Presse people ? Pas seulement. La « vraie » presse en croque aussi. C’est une autre révélation de ce reportage, révélation étrangement passée sous silence dans les médias. Elle met en scène Omar Harfouch. Ce riche homme d’affaire libanais possédait des parts dans la prestigieuse agence Elite. En 2001 Harfouch accuse ses associés de prostitution et de harcèlement sexuel envers des mineures « dans les coulisses du concours de mannequins Élite Model Look (Source Wikipedia).
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Cette dernière mènera une campagne de presse particulièrement odieuse contre Harfouch. Deux titres relayeront des informations mensongères. Pas n’importe quels titres. Pas des titres de la presse people : La Tribune de Genève et l’Express qui publient, au mot près quasiment le même article (ça c’est de la déontologie). Romain Bolzinger dévoile qu’Alain Kittler, président d’Elite, s’adjoint le service de Michèle Marchand pour discrediter Harfouch aux yeux de l’opinion en intoxiquant la presse. Résultat Omar Harfouch a gagné tous ses procès : contre les dirigeants d’Elite, contre la Tribune de Genève, contre l’Express qui ne témoignent pas, hélas, devant les caméras de Canal+…

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sarkozy-et-carla-bruni-la-presse-65475

L a guerre des Miss que se livrent depuis des mois la présidente du Comité Miss France Geneviève de Fontenay et l’organisateur du dernier concours Miss Europe Omar Harfouch fait de nouveau dommages collatéraux.

Mme de Fontenay a été déboutée de toute ses demandes, dans sa plainte pour diffamation et injure publique envers Omar Harfouch, a-t-on appris de source judiciaire.

Dans un jugement rendu le 6 juin, et qu’a pu consulter l’Associated Press, la 17e Chambre correctionnelle du tribunal de Paris a estimé que les propos tenus par M. Harfouch le 4 décembre 2006 dans “France-Soir” ne présentaient pas de caractère “injurieux et diffamatoire” envers la plaignante, partie civile dans cette affaire.

“Au risque de paraître un peu dur, j’estime et je ne suis pas le seul à le penser que Mme de Fontenay est une dame-anti-beauté, un personnage anti-glamour. Elle fait peur. A côté d’Alexandra Rosenfeld, elle a l’allure d’une sorcière”, étaient les premiers propos reprochés au prévenu.

Dans son jugement, le tribunal a estimé qu’il s’agissait là d’appréciations subjectives portée par M. Harfouch “quant à l’apparence de la demanderesse par opposition aux personnages des Miss France auxquelles elle est indissociablement liée (…) et que ces expressions, si elles pouvaient paraître peu amènes, ne sauraient être considérées comme outrageantes ou méprisantes à son égard”. Les juges ont voulu replacer ces propos “dans le contexte de querelle et rivalité exacerbées opposant” les parties.

La présidente du comité Miss France avait aussi estimé diffamant d’autres propos de M. Harfouch. “Les prix substantiels (du concours Miss Europe) sont directement alloués à la lauréate. Pour une dame (Mme de Fontenay) habituée à exploiter une gagnante durant l’année qui suit sa désignation et à vivre de ce système, c’est évidemment intolérable”, ajoutait-il.

Ces derniers propos n’ont pas non plus été jugés diffamatoires, le tribunal établissant une distinction entre “diffamation” et “expression d’une opinion ou d’un jugement de valeur, autorisée par le libre droit de critique”.

Contacté par l’AP, Me Jean-Philippe Destremau, avocat de Mme de Fontenay, a indiqué qu’il “envisageait” d’interjeter appel de la décision .

Geneviève de Fontenay déboutée en appel contre Omar Harfouch

11/06/2009 à 15h13 – mis à jour le 11/06/2009 à 15h17

Fontenay et Entrevue condamnés pour diffamation

La publication d’un entretien de la présidente du comité Miss France par le magazine était en cause.

La présidente du comité Miss France, Geneviève de Fontenay, et le magazine Entrevue ont été condamnés pour diffamation publique envers l’homme d’affaires et organisateur du concours Miss Europe, Omar Harfouch, a-t-on appris, vendredi 7 décembre, auprès de l’avocat du plaignant, Me Jean-Marc Fedida.
Dans un jugement rendu jeudi, dont l’Associated Press (AP) a pu consulter un exemplaire, la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris a condamné Geneviève de Fontenay et Gérard Ponson, directeur de la publication d’Entrevue, à la suite de la publication en décembre 2006 d’un entretien intitulé “Alexandra Rosenfeld, Miss Europe 2006 – Une élection bidon”.
Le magazine et Geneviève de Fontenay devront solidairement verser au plaignant la somme d’un euro à titre de dommages et intérêts, ainsi que s’acquitter d’une amende délictuelle de 1.000 euros pour Entrevue, et 1.000 euros avec sursis pour la présidente du Comité Miss France.

Geneviève de Fontenay “amusée” du jugement

Dans sa décision, le tribunal a jugé que la phrase “on n’a jamais su d’où venait son argent”, extraite de l’entretien de Geneviève de Fontenay et prononcée au sujet d’Omar Harfouch, était “sans conteste contraire à l’honneur et à la considération” de l’organisateur de Miss Europe.
En revanche, les qualificatifs “mafioso” et “sulfureux”, également issus de l’entretien de Geneviève de Fontenay, sont estimés “ressortir du jugement de valeur et apparaissent trop vagues pour pouvoir constituer l’imputation de faits précis”.
Jointe au téléphone vendredi par l’AP, l’organisatrice du concours Miss France s’est dite “amusée” du jugement. Egalement contacté, son avocat Me Jean-Philippe Destremau s’en est dit “satisfait et ne souhaite pas interjeter appel, d’autant qu’Omar Harfouch a été débouté de sa demande de publication judiciaire du jugement”. (avec AP)

Publication dans le numéro 2702 du 17/04/2003 P. 73
Le journal L’Express condamné

«Par jugement du 27 février 2003, le Tribunal Correctionnel de Paris, Chambre de la Presse, a condamné M. Denis Jeambar, directeur de la publication de L’Express, et M. Renaud Revel, journaliste, pour avoir diffamé publiquement M. Omar Harfouch, en publiant, dans le journal L’Express du 15 au 21 novembre 2001, en pages 10 à 14, un article intitulé: ?Qui veut la peau d’Elite? ? le mettant en cause.»